AXALTA

AXALTA

Axalta, un monde de couleur

Qu’elles soient liquides ou en poudre, les peintures que les 12 000 employés d’Axalta produisent, habillent et protègent la plupart des objets qui nous entourent. Société américaine, Axalta est présente dans plus de 140 pays et elle articule ses activités autour de trois pôles : « Mobility » pour les constructeurs de véhicules neufs, le « refinish & aftermarket » pour les carrossiers et le pôle « industrial » pour les applications industrielles des secteurs de la construction, du BTP, des équipements agricoles et les objets du quotidien.

En France, Axalta est implantée à Savigneux dans la Loire depuis 2010, le site est spécialisé dans ce troisième pôle et plus précisément dans la fabrication de peinture en poudre. Il fait également partie, avec son centre de formation et de recherche, des 25 laboratoires locaux répartis à travers le monde. Conjointement aux quatre grands centres de R&D basés aux États-Unis, en Allemagne et en Chine, les activités de ces laboratoires locaux sont au cœur de la politique d’innovation de l’entreprise.

Axalta, initiateur de tendance

Créateur de couleur, chaque années Axalta conçoit une nouvelle Couleur « tendance » à destination de l’industrie automobile qui est largement reprise par les architectes et designers urbains. Après l’Electrolight de 2021, couleur vert-jaune expressive et fraîche, le Royal Magenta se veut plus luxueux et plus majestueux en changeant de couleur au cours de la journée. Il signe la couleur de l’année 2022.

Une entreprise, un territoire

Axalta est un employeur important du bassin ligérien, dont le rayonnement dépasse largement la plaine du Forez. Avec 230 collaborateurs, l’entreprise recrute des profils aussi variés que des chimistes, des ingénieurs, des mécaniciens, des vendeurs, des manutentionnaires ou des opérateurs de machines. Pour les profils plus spécialisés, Axalta se tourne régulièrement vers les écoles d’ingénieurs, comme l’ITECH à Lyon, qui est l’une des rares écoles françaises proposant une formation spécifique à l’étude des polymères et de leur application. La mobilité interne est bien entendu encouragée, la formation étant un pôle important des activités du site de Savigneux. Soumis à une forte saisonnalité, l’entreprise engage annuellement jusqu’à une cinquantaine de profils intérimaires, principalement en été, où l’activité des chantiers de construction est la plus forte.

Implanté sur le site qu’occupait l’ancienne entreprise de peinture liquide Bichon, dont le souvenir est encore vivace auprès des habitants de Montbrison, Axalta a su conserver un esprit familial dans son fonctionnement, et affirme par là même son ancrage local. Cet ancrage se traduit notamment par la relation étroite qu’entretient Axalta, depuis 2016, avec la Fondation de l’Université Jean Monnet, à travers des actions de mécénat, ainsi que l’accueil de nombreux stagiaires tout au long de l’année.

Permettre à des jeunes de se former, de trouver leur voie et de s’épanouir passe par une politique de formation volontariste et nécessaire, qui a pour double objectif de préparer le futur de l’entreprise et soutenir au mieux les talents émergeants.

Vers la neutralité carbone : un défi d’avenir


La transition écologique est aujourd’hui une question majeure, dont Axalta s’est emparée à pleines mains. Un horizon, l’année 2030, et une politique de réduction importante de l’empreinte carbone guident à présent les actions menées au sein de l’entreprise, en particulier en ce qui concerne la recherche de matériaux innovants et moins énergivores.

Cette transition passe entre autres par une évaluation précise des émissions de CO2 qu’engendre la fabrication de chaque kilo de peinture, afin d’identifier les postes et les pratiques à améliorer dans la chaîne de production, l’instauration d’un code de bonnes pratiques éthiques et environnementales auprès des fournisseurs, l’intégration d’une part de plastique recyclé dans les peintures, le recyclage systématique et la revalorisation des déchets de peintures, ou encore l’augmentation des produits biosourcés (c’est-à-dire non dérivés du pétrole) dans la production de peinture, comme les algues et les sous-produits végétaux.

Il est également question de développer le photovoltaïque. Pascal Nicard a beaucoup œuvré à cette intégration de la composante environnementale dans les politiques de développement de l’entreprise à l’échelle globale, et a su fédérer localement les équipes autour de cette réduction conséquente de l’empreinte carbone.

Théo Jacqmin

https://www.axalta.com/